Une expérience suppose une distinction entre celui qui perçoit et ce qui est perçu. Parabrahman, étant non-duel, est au-delà de cette dynamique.

Nisargadatta Maharaj résume cette vérité dans I Am That : « Même dire que vous êtes conscience est une limitation. Parabrahman n’est pas à trouver, car il n’a jamais été perdu. Il est ce qui est, au-delà de l’idée même d’être ou de ne pas être. » (Source : I Am That, dialogue 102, traduction de Maurice Frydman)