Patrick passa 18 ans entre l’Inde et la France. En Inde il vécu dans un petit ashram auprès d’une Mère spirituelle, où il devint Acharya Priyananda.
En France, il rejoignit la fraternité franciscaine et devint Frère Patrick. Se formant à l’art subtil se l’Accompagnement avec un père chretien, Patrick devint naturellement accompagnateur pour de nombreuses personnes en recherche.
Éclairé par la conscience non-duelle, il gère aujourd’hui Shantidham, un centre de méditation en Maine et Loire.
« Mon parcours conscient commença vers 20 ans, dans les années 70, j’étais déjà fasciné par les spiritualités orientales, lisant la Bhagavad Guita de Sri Aurobindo, les yogas pratiques de Swami Vivekananda, les poésies chinoises taoistes et surtout Krishnamurti. Puis un appel irrésistible vers l’Inde, se manifesta, ce corps avait 22 ans…
Découverte d’un autre monde, d’une autre planète. Un émerveillement. Et un choc. Rencontre avec un sage, Sri Manoharan, à Calcutta, par « hasard ». Il me fit plonger dans une autre dimension. Ce que j’avais lu sur les yogis est vrai. Émerveillement incroyable !
Un deuxième voyage et la rencontre totalement bouleversante, inattendue mais irrésistible avec Mère (Maa), la Mère divine, vivant alors dans un tout petit ashram, selon la voie dépouillée traditionnelle, en Orissa. Expérience totalement indicible… »
Alors commença une autre vie… pour engendrer une nouvelle naissance… Séjournant en Inde, auprès de Maa, à Puri, je vais rencontrer alors Krishnamurti, à Madras… tout en restant dans les bras de Maa. Puis Mère Térésa et Sri Manoharan à Calcutta… S’en suivirent des expériences d’élévation de concience. Maa nourrissait mon coeur.
Et lors de mes retours en France, je suis hébergé dans des monastères chrétiens, surtout dans la famille franciscaine, aidé en toute chose par la Providence. Jean Vanier, mon grand frère, m’ouvrit à la beauté de la personne, et à la plus haute forme d’Ahimsa alors que Maa avec l’Advaita me fit découvrir la vérité (satya) de l’au-dela de la personne. Plusieurs séjours prolongés se succéderont ainsi auprès de Mère. La sadhana, le travail sur soi, se poursuivit, Mère me préparait. L’évolution me conduisit à une crise fondamentale.
Le temps de la transmission est arrivé. Des livres et la création de l’Institut pour former et accompagner toutes les personnes en recherche de Vérité, selon la Voie de la Douceur.
« Le but unique de la Transmission est l’élimination des obstacles qui empêchent l’être humain de vivre dans sa plénitude. »
Auprès de Mère, Patrick devint Priyananda
« Ecouter son cœur, c’est vivre dans la connaissance de ce que nous sommes en profondeur. C’est éveiller la bienveillance. L’écoute intérieure est un moyen naturel et simple de favoriser la Paix. Ecouter son cœur c’est se rejoindre à la source profonde pour s’y désaltérer.
Qui, aujourd’hui, prend le temps d’écouter son cœur ? Combien se lancent à la découverte de leur être profond pour découvrir ce qu’il a à dire ? Car il y a des choses à entendre, des choses très précieuses pour notre vie, pour notre évolution. Ecouter son cœur c’est trouver sa voie. La Paix est la base d’une existence dans l’Amour, elle arrivera par l’ouverture du cœur profond ». (extrait de « Etre un coeur de paix »)
« Au cours de sa quête, Patrick a abordé la plupart des aspects du développement de la conscience. Après des années en ermitage, il lui fut demandé de partager les fruits de son expérience. L’institut qu’il a créé donne forme à sa transmission. Du développement personnel au transpersonnel, il a synthétisé la quintessence des processus d’évolution, en se fondant sur sa propre expérience. J’ai suivi ses formations avec un grand bénéfice, appréciant tout particulièrement sa simplicité et sa profondeur. »
meditation_du_coeur
«Mon travail propose une alchimie, un processus de transformation qui concerne ceux qui sont disposés à mourir à ce qu’ils ne sont pas, et à renaître à la Vérité de leur Beauté.» (Patrick)
« Quand la maturité spirituelle arrive, il n’y a plus qu’à laisser faire… Tout se fait… il n’y a rien à contrôler… Laisser l’illusion du moi disparaître… et une sublime joie légère emplit tout ! » (Patrick)