l'attente de qque chose ...
Citation de Raphael le 4 décembre 2020, 10 h 16 mincomme un echo au partage d'hier soir :
Il y a un secret très simple pour être heureux. Laissez tomber votre '' demande '' sur ce moment. Chaque fois que vous avez une demande sur le moment de vous donner quelque chose ou d'enlever quelque chose, il y a de la souffrance. Vous vous arguez avec '' Ce que je '' - vos exigences vous tiennent enchaîné à l''' état de rêve '' de l'esprit conditionné. Le désir de '' contrôler ''... est, en fin de compte, notre refus d'être éveillé. ~ Adyashanti
Et cela (partage de Charles Coutarel de ce matin
FUKANZAZENGI (Maître Dogen (1200-1253))
" Vous devez en conséquence abandonner une pratique
fondée sur la compréhension intellectuelle,
courant après les mots et vous en tenant à la lettre.
Vous devez apprendre le demi-tour
qui dirige la lumière vers l’intérieur
pour illuminer votre véritable nature.
Le corps et l’âme d’eux-mêmes s’effaceront,
et votre visage originel apparaîtra."
comme un echo au partage d'hier soir :
Il y a un secret très simple pour être heureux. Laissez tomber votre '' demande '' sur ce moment. Chaque fois que vous avez une demande sur le moment de vous donner quelque chose ou d'enlever quelque chose, il y a de la souffrance. Vous vous arguez avec '' Ce que je '' - vos exigences vous tiennent enchaîné à l''' état de rêve '' de l'esprit conditionné. Le désir de '' contrôler ''... est, en fin de compte, notre refus d'être éveillé. ~ Adyashanti
Et cela (partage de Charles Coutarel de ce matin
FUKANZAZENGI (Maître Dogen (1200-1253))
" Vous devez en conséquence abandonner une pratique
fondée sur la compréhension intellectuelle,
courant après les mots et vous en tenant à la lettre.
Vous devez apprendre le demi-tour
qui dirige la lumière vers l’intérieur
pour illuminer votre véritable nature.
Le corps et l’âme d’eux-mêmes s’effaceront,
et votre visage originel apparaîtra."
Citation de mathilde le 6 décembre 2020, 14 h 20 minMerci Raphaël pour ces partages 🙂
Cela me fait (forcément?) penser aussi à l'attente sans attente si bien décrite par Jean Klein … J'en pose ici quelques « morceaux ».
" Vous vous connaissez uniquement dans le connu. Lorsque parfois vous vous sentez dans le non-savoir, à cet instant il y a encore en vous, finalement, le désir ardent de savoir. Dans l’attente dont nous parlons, il n’y a rien à attendre, car il n’y a personne qui attend. Ainsi toute l’énergie excentrée s’apaise, et vous arrivez automatiquement à un état d’attente sans attendre quoi que ce soit. Attendre quelque chose appartient au mental. Mais l’attente libre de l’attente de quelque chose n’appartient pas au mental. Cela appartient à notre éternité.." (...)
''Il est important de vivre cette non direction, ce non savoir, cette attente sans attente de quoique ce soit.(...) Seul subsiste votre attention sans direction.Vivre dans l’absence absolue de vous-même. C’est le seuil. Vous êtes dans une ouverture complète, ouvert à rien de particulier, libre de toutes idées, libre de tout espoir. Et quand vous êtes complètement transparent, ouvert à l’ouverture, vous êtes pris par la Vérité, par la Grâce. C’est certain.'' (…) Alors, on se trouve dans une attente sans attente, pleinement épanouie et c’est dans le silence de cette immensité vacante, sans frontière, sans limite, sans centre, que la lumière, la vérité peut surgir."(...)
Nous sommes simplement ouverts, ouverts au possible, ouverts à l'inconnu. Nous ne pouvons jamais aller vers cela, nous ne pouvons jamais le saisir mais seulement être saisi par lui.
Dans cette attente sans attente, vous réaliserez que vous êtes ce que vous attendez. L'attente elle-même est la réponse. (...)
C'est un état impersonnel où il n'y a pas de place pour être quelqu'un, pour être une personne. C'est pourquoi dans cet accueil votre être se déploie complètement (...)~ Jean Klein
Merci Raphaël pour ces partages 🙂
Cela me fait (forcément?) penser aussi à l'attente sans attente si bien décrite par Jean Klein … J'en pose ici quelques « morceaux ».
" Vous vous connaissez uniquement dans le connu. Lorsque parfois vous vous sentez dans le non-savoir, à cet instant il y a encore en vous, finalement, le désir ardent de savoir. Dans l’attente dont nous parlons, il n’y a rien à attendre, car il n’y a personne qui attend. Ainsi toute l’énergie excentrée s’apaise, et vous arrivez automatiquement à un état d’attente sans attendre quoi que ce soit. Attendre quelque chose appartient au mental. Mais l’attente libre de l’attente de quelque chose n’appartient pas au mental. Cela appartient à notre éternité.." (...)
''Il est important de vivre cette non direction, ce non savoir, cette attente sans attente de quoique ce soit.(...) Seul subsiste votre attention sans direction.Vivre dans l’absence absolue de vous-même. C’est le seuil. Vous êtes dans une ouverture complète, ouvert à rien de particulier, libre de toutes idées, libre de tout espoir. Et quand vous êtes complètement transparent, ouvert à l’ouverture, vous êtes pris par la Vérité, par la Grâce. C’est certain.'' (…) Alors, on se trouve dans une attente sans attente, pleinement épanouie et c’est dans le silence de cette immensité vacante, sans frontière, sans limite, sans centre, que la lumière, la vérité peut surgir."(...)
Nous sommes simplement ouverts, ouverts au possible, ouverts à l'inconnu. Nous ne pouvons jamais aller vers cela, nous ne pouvons jamais le saisir mais seulement être saisi par lui.
Dans cette attente sans attente, vous réaliserez que vous êtes ce que vous attendez. L'attente elle-même est la réponse. (...)
C'est un état impersonnel où il n'y a pas de place pour être quelqu'un, pour être une personne. C'est pourquoi dans cet accueil votre être se déploie complètement (...)
~ Jean Klein
Citation de associatEC le 9 décembre 2020, 16 h 27 minExtrait du FUKANZAZENGI de Maitre DOGEN
1. La Voie est foncièrement parfaite. Elle emplit tout. Comment pourrait-elle découler de la pratique et de la réalisation? Le véhicule du Dharma est libre et ne souffre d'aucune entrave. En quoi l'effort de l'homme réfléchi est-il nécessaire? En vérité, le Grand Corps est au-delà de toutes les poussières du monde. Peut-on encore supposer qu'il existe un moyen de l'épousseter? Il n'est rien singulier, il est exactement là où il se trouve, à quoi bon errer?2. Cependant, s'il y a un fossé, si petit soit-il, la voie reste aussi lointaine que le ciel de la terre. Si l'on manifeste la moindre aversion, l'esprit se perd dans la confusion. Imaginez une personne qui se loue de comprendre et qui s'illusionne sur son éveil - devinant la sagesse en toutes choses - se joint à la voie, clarifie son esprit et fait naitre le désir d'escalader le ciel par ses propres moyens. Cette personne a entrepris l'exploration originelle, mais elle s'est restreinte par des limitations. Ainsi, elle n'est pas totalement engagée sur la voie de la délivrance.3. Ai-je besoin du Bouddha, qui possédait la connaissance innée? On perçoit encore les effets des six années passées assis en lotus dans une immobilité totale. La transmission du sceau jusqu'à nos jours a conservé la mémoire de Boddhidharma et de ses neufs années de méditation face au mur. Comment nos contemporains peuvent-ils penser être dispensé de pratiquer?
Extrait du FUKANZAZENGI de Maitre DOGEN
Citation de Laurent le 9 décembre 2020, 16 h 33 minbonjour ,
une ptite question pour Mathilde : la longue citation de Jean Klein que tu as partagée , si techniquement c'est avec un copier-coller , c'est que tu as peut etre les oeuvres de Jean Klein en format numerique ?? j'aimerais bien trouver ça .
bonjour ,
une ptite question pour Mathilde : la longue citation de Jean Klein que tu as partagée , si techniquement c'est avec un copier-coller , c'est que tu as peut etre les oeuvres de Jean Klein en format numerique ?? j'aimerais bien trouver ça .
Citation de mathilde le 22 décembre 2020, 20 h 41 min
Si vous faites un vœu, faites le vœu que tout soit exactement comme c’est.
Puis attendez patiemment que votre vœu devienne réalité.
Stephen Russell
Si vous faites un vœu, faites le vœu que tout soit exactement comme c’est.
Puis attendez patiemment que votre vœu devienne réalité.
Stephen Russell